| ls |
Liste les fichiers et les
répertoires. Options
principales de ls
|
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| Il est bien sûr possible de
combiner ces différentes options |
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| file mon_fichier |
Analyse les données et identifie
le type de fichier de mon_fichier |
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| mkdir |
Crée un répertoire du nom
donné en paramètre % mkdir -p permet de créer des répertoires et des sous-répertoires d'un seul coup |
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| cd directory |
Permet de changer de répertoire % cd /Users/toto permet ainsi de se positionner dans le répertoire de toto qui est lui même à l'intérieur du répertoire Users. |
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| cd ~ |
Se positionne dans le répertoire
de l'utilisateur courant |
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| cd / |
Se positionne dans le répertoire
racine |
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| cd .. |
Se psoitionne dans le répertoire
immédiatement supérieur. |
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| cd - |
Petit truc, cette commande permet de revenir
dans le répertoire appelé par le précédent cd |
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| pwd |
Affiche le 'path' (chemin)
du répertoire actif |
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| cp fichier1 fichier2 |
Copie le fichier1 et le renomme
fichier2 |
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| mv fichier1 fichier2 |
Tranfére ou renomme le
fichier1 en le fichier2 |
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| rm mon_fichier |
Efface mon_fichier |
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| rm -r mon_repertoire |
Efface récursivement un
répertoire, ici mon_repertoire |
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| rmdir |
Efface un répertoire s'il est vide. |
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| cat |
Concaténer des fichiers et
les afficher sur la sortie. % cat -v monFichier Une fonctionnalité très utile est -v car elle permet d'afficher n'importe quel fichier du système, exécutable ou non, transformant tous les caractères non-imprimables (ou ceux qui bloquerait le terminal) dans un format spécial. |
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| more |
Filtre lecteur de fichier. L'on peut
pipeter le résultat d'une commande vers « more ». Très pratique si l'output de la commande est important : « commande | more ». |
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| head |
Affiche les premières lignes d'un
fichier. % head -10 mon_fichier affichera les 10 premières lignes de mon_fichier |
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| tail |
Affiche la dernière partie
d'un fichier. % tail -10 mon_fichier affichera les 10 dernières lignes de mon_fichier |
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| wc |
Calcule le nombre de lignes, de mots ou de
caractères d'un fichier en tapant % wc mon_fichier % wc -l mon_fichier affiche le nombre de lignes seulement % wc -w mon_fichier affiche le nombre de mots seulement % wc -c mon_fichier affiche le nombre de caractères seulement |
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| less |
Permet lire un fichier sans
l'éditer (c'est-à-dire ouvrir un document afin
de pouvoir le modifier) Les commandes de base sont : h :afficher l'ensemble des commandes q: quitter |
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| grep 'truc' |
Affiche les lignes correspondant
à un motif donné.ici truc Petite astuce : % grep -i permet d'outrepasser la sensibilité à la casse. |
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| wc |
Affiche le nombre d'octets, de mots
et de lignes d'un fichier |
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| arch hostinfo |
Affiche l'architecture de la machine par exemple % arch ppc Lui préférer hostinfo, plus porteur d'informations (merci à Laurent Pertois pour cette excellente remarque) % hostinfo ach kernel version: Darwin Kernel Version 5.5: Thu May 30 14:51:26 PDT 2002; root:xnu/xnu-201.42.3.obj~1/RELEASE_PPC Kernel configured for up to 2 processors. 1 processor is physically available. Processor type: ppc750 (PowerPC 750) Processor active: 0 Primary memory available: 256.00 megabytes. Default processor set: 44 tasks, 108 threads, 1 processors Load average: 0.09, Mach factor: 0.95 |
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| commande > file commande >> file commande < file |
Il est possible de rediriger les
entrées/sorties à l'aide des symboles '>' et
'<' : par exemple, le résultat d'une
commande est trop long pour être affiché dans
l'écran, ou bien on désire en garder une trace. Le symbole '>>' insère les données à la fin du fichier, sans écraser ce qu'il contient déjà. Attention : commande >> file qui permet d'ajouter à la fin d'un fichier sans en effacer le contenu alors que commande > file va tout effacer pour mettre le nouveau contenu. |
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| commande --version |
Affiche la version de la commande
spécifiée par exemple % ls --version indique ls (GNU fileutils) 4.0 |
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| ? |
Caractère jocker qui permet
de remplacer un seul caractère |
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| * |
Caractère jocker qui permet
de remplacer un groupe de caractères (lettres ou
autre). |
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| commande1 | commande2 |
Ce mécanisme permet
d'enchaîner l'exécution de plusieurs commandes, en
branchant la sortie d'une commande sur l'entrée de
la suivante, à l'aide du symbole '|'. On le nomme le
pipe-line ou tube |
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| cat fichier fichier2 > fichier0 |
Concatenate le fichier1 et le
fichier2 dans le fichier0 |
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| sort |
Tri les données |
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| Retour en haut |
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| chmod [options] Mon_fichier |
Change les droits d'accès du
fichier Mon_fichier |
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| CpMac file |
Copie Mac (avec section de
ressources) (commandes de /Developer/Tools) |
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| tar -xzf mon_fichier.tar.gz |
Décompresse mon_fichier.tar.gz |
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| tar -xf fichier.tar |
Décompresse un fichier tar |
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| tar -czf fichier fichier.tar.gz |
Compresse fichier |
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| sudo ln -s /Developer/Tools/CpMac
/usr/bin/CpMac |
Ajoute la commande CpMac en générant un lien symbolique avec « ln -s /Developer/Tools/CpMac /usr/bin/CpMac » Autre façon de faire : Ajout « /Developer/Tools » dans le PATH. Cette technique est applicable pour rajouter de nouvelles commandes issues de « /Developer/Tools » |
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| ln source cible |
Crée un lien physique entre
source et cible (par la suite, une modification de cible
modifiera source) |
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| ln -s source cible |
Crée un lien symbolique entre
source et cible (on peut assimiler ce type de lien aux alias ou
raccourcis) |
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| alias |
Permet de visualiser les alias
actuellement définis pour les commandes Shell |
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| mount |
Affiche les disques (physiques ou
virtuels) montés. |
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| env |
Affiche votre environnement. Les principales variables d'environnement qui apparaissent sont :
|
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| finger |
Affiche des informations sur l'utilisateur
courant. % finger -l Affiche le nom de login, le nom réel, le terminal, l'autorisation d'écriture (`"*'' signifie que l'écriture sur le terminal est interdite), le répertoire de l'utilisateur, le temps d'inactivité, la date du login, l'état de sa boîte aux lettres, et le contenu des fichiers ".plan", ".project" et ".forward" de son répertoire de démarrage. L'état de la boîte aux lettres est affiché sous la forme ``No Mail.'' si elle est vide, ``Mail last read DDD MMM ## HH:MM YYYY (TZ)'' si l'utilisateur a consulté sa boîte aux lettres depuis la dernière arrivée de courrier, ou ``New mail received ...'',`` Unread since ...'' s'il est arrivé du courrier depuis la dernière consultation. Par exemple pour un utilisateur Henri toto dont le login est toto, utilisant terminal.app (tcsh), la date de login est affichée sous la forme mois,jour, heure, minutes, à moins qu'elle ne remonte à plus de six mois, auquel cas l'année est affichée à la place de l'heure et des minutes, dans le cas présent, il ne possède pas de boîte aux lettres : % finger -l Login: toto Name: Henri Toto Directory: /Users/toto Shell: /bin/tcsh On since Fri Aug 2 15:10 (CEST) on console, idle 11:18 (messages off) On since Fri Aug 2 23:09 (CEST) on ttyp1 No Plan % finger -l root Login: root Name: System Administrator Directory: /var/root Shell: /bin/tcsh Never logged in. Mail forwarded to: /dev/null No Plan. |
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| Retour en haut |
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| pour analyser les mots de passe |
% nidump passwd . |
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| Retour en haut | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| pour optimiser le système |
% sudo update_prebinding / Quelle signification au terme prebinding ? Eric Levenez a proposé sur fcomx :"Mise à jour des liens des bibliothèques des applications"ou "Optimisation du lancement des applications" |
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| Commandes marrantes |
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| % cal 07 2002 |
Affiche le calendrier du mois de
Juillet 2002 July 2002 S M Tu W Th F S 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 |
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| % date |
Affiche la date courante |
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| % bill gates % \(- |
Mais que va répondre le terminal ? |
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| Pour installer un programme
sous Shell |
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| % ./configure |
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| % make |
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| % sudo make install |
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| si erreur "cannot h-guest host.." |
% cp
/usr/libexec/config.* . |
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| % cp
/usr/share/libtool/ltconfig . |
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| % rm config.cache |
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| % ./configure
--prefix="/sw" |
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| retour en haut |
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| Pour Lire les programmes
installables sous Fink |
% fink list |
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| (autre possibilité) |
fink.txt créé de la
façon suivante : % fink list >
fink.txt |
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| Pour effacer un ensemble de
fichiers ( par exemple contenant "truc") |
% locate truc >
truc.txt |
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| % zsh |
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| # cat truc.txt |while
read line |
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| # do |
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| # sudo rm -r "$line" |
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| # done |
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| # exit |
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| % rm truc.txt |
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| retour en haut |
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| Pour modifier le fichier qui est
exécuté au démarrage de XDarwin |
% pico .xinitrc |
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| (j'utilise pico qui est un excellent
éditeur de textes |
ou (sous XDarwin) |
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| installé par défaut par
MacOS X) |
xedit .xinitrc |
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| Retour en haut | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| Pour modifier le fichier qui est
exécuté au démarrage de tcsh ( terminal.app ) |
% pico .tcshrc |
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| Pour modifier le fichier qui est
exécuté à démarrage de terminal.app |
% pico
.usr/nomutilisateur/.login |
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| Pour créer un fichier configure dans le cas
où seul configure.in est présent |
% autoconf |
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| Pour lancer une analyse du
disque en mode single user |
Au démarrage ( après le
son) Pomme + S (--> mode single user) |
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| # fsck |
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| # exit |
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| retour en haut |
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| Mise
à jour fink |
[machin:~] testuser% fink
selfupdate |
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| (l'autre méthode plus simple,
consiste à utiliser l'installeur qui est désormais téléchargeable |
[machin:~] testuser% fink
update-all |
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| retour en haut |
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| Comment effacer les
éléments de Corbeille avec terminal.app (astuce
donnée par Fte dans fcomx) |
% sudo chflags -R
nouchg |
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| Glisser le contenu de la poubelle
dans la fenêtre du terminal. Enter. Mot de passe.
Ça déverrouille tous les fichiers |
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| % sudo rm -R |
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| et reglissade du contenu de la
poubelle. Réenter. Ça efface tout |
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| explications : |
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| sudo = exécuter en tant
qu'administrateur |
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| chflags = change les flags, nouchg =
no + uchg = pas de flag user change= pas de flag
verrouillé |
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| rm = remove = efface |
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| -R = récursif = traverse tous
les dossiers et applique la commande à tout fichier vu. |
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| retour en haut |
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| Pour
copier d'ordinateur à ordinateur en connaissant l'IP |
% scp fichier user@IP:
fichier (pour copier un fichier en
connaissant l'adresse IP). Il faut que « Ouverture distante
» soit activé : cela active le partage ssh. Si le
partage ssh est activé, il est plus simple d'utiliser «
sftp ». |
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| Prendre la main à distance d'un ordinateur en
connaissant son IP |
Si on veut ouvrir une application X
distante. Il convient de faire % xhost ip_distante % ssh ip_distante % setenv DISPLAY notre_ip:0.0 % applicationX |
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| Pour rajouter des fichiers
unstable installables par fink |
% sudo pico
/sw/etc/fink.conf |
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| rajouter alors unstable/main |
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| Trees: local/main stable/main
stable/crypto stable/bootstrap local/bootstrap unstable/main |
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| Retour en haut | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| Mise à jour des logiciels fink |
apt-get est la commande qui permet
d'installer/updater via la binary distribution. fink est la commande qui permet d'installer/updater via la source distribution. Tableau
d'équivalence
|
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| Désinstallation par fink de
application_que _j'ai_installée |
% fink
remove application_que _j'ai_installée |
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| Lister les bibliothèques
dynamiques de nom_de_l'application |
% otool -L
/sw/bin/nom_de_l'application |
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| retour en haut |
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| Quelques commandes
Système |
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| top |
Affiche un tableau évolutif
indiquant les programmes en cours sur la machine, et en
particulier le temps que leur consacre la machine (indiqué
par le CPU en %). |
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| ps |
Affiche la liste des processus qui
sont lancés. PID (process identificator) : c'est le numéro du processus. TT : indique le terminal dans lequel a été lancé le processus. STAT : indique l'état du processus (R : actif ( running) S : non activé depuis moins de 20 secondes (sleeping) I : non activé depuis plus de 20 secondes (idle) T : arrêté (suspendu) TIME COMMAND: indique le temps machine utilisé par le programme |
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| ps -ax |
Affiche tous les programmes lancés
et les informations. |
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| ps -auxc |
Affiche en plus le nom du propriétaire du
process et le c supprime le chemin d'accès au process
lancé, on a alors que le nom, bien plus lisible (merci à
Laurent Pertois pour cette chtite astuce bien pratique !) |
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| ps -ax | grep "bidule" |
Affiche les informations relatives au
programme bidule. |
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| uname -a |
Affiche la version de l'OS et le type
de machine. |
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| Mais où apparait via le
terminal le CD que je viens d'introduire ? |
% cd /Volumes permet de se positionner dans le répertoire dans lequel figurent tous les disques (CD, zip; partitions...) |
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| Comment puis-je lire en mode offline les news avec un
logiciels online ? (astuce donnée par Julien Salort dans fcomx) |
Pour cela, il convient d'installer
leafnode. % fink install leafnode * Editer /sw/etc/leafnode/config : la syntaxe est simple La seule chose à faire est mettre le serveur de news # sudo /sw/sbin/fetchnews -vv C'est pour télécharger les news * Ouvrir le logiciel de news en choisissant 'localhost' comme serveur de news. Il n'y a même pas besoin de préciser quels groupes on lit. Leafnode le déduit des groupes que tu choisis dans ton lecteur de news. Donc la seule chose à configurer côté leafnode est l'adresse du serveur de news et éventuellement le login/password du serveur en question. A noter que l'on peut également utiliser plusieurs serveurs avec leafnode. On pourra donc consulter des newsgroups disponibles sur des serveurs différents même avec un logiciel non multiserveur. Comme il est assez peu user-friendly d'avoir à taper sudo /sw/sbin/fetchnews -vv dans le terminal, on peut le rajouter dans le Script menu. Conclusion quand on veut lire le news. On choist le script dans le Script Menu pour connecter au serveur (équivalent du Pomme+K) On peut alors débrancher le modem et ouvrir son lecteur de news online (qui fonctionne alors en off-line) Question : Comment est-ce qu'il fait pour déduire quels groupes je lis avec MacSOUP ? Lorsque MacSOUP va demander à leafnode la liste des articles pour un groupe donné, il va lui renvoyer un seul article contenant un lisez-moi de Leafnode. Le fait que MacSOUP demande le corps de cet article suffit pour que leafnode sache que l'on consulte le newsgroupe en question. Ensuite si on ne consulte plus ce newsgroupe pendant une période donnée, leafnode comprends que tu ne le lis plus et ne le relève alors plus. Autre question : qu'est-ce que c'est que le Script Menu ? http://www.apple.com/applescript/macosx/script_menu Ça permet d'avoir un menu qui lance des applescript ou des scripts UNIX. |
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| Comment ouvrir
n'importe quelle application en utilisant le terminal? |
% open -a
"Nom_de_l'application" par exemple : % open -a "iTunes" ou % open -a "TextEdit" |
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| Comment changer l'annonce du
terminal ? |
% sudo pico /etc/motd (remplacer par le texte de votre choix, enregistrer et hop ! c'est fait!) |
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| Exporter le man d'une commande pour le
lire dans un traitement de texte. |
% man non_de_la_commande
| col -bx > fichier.txt |
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| Comment éjecter un support monté sur le
Finder (zip, CD, DVD, disquette) ? |
% hdiutil eject
/dev/nom_du_disk ou /dev/nom_du_disk est le vrai chemin du support monté. Pour identifier ce chemin et le nom_du_disk, deux solutions : soit % mount soit % df Autre solution : % disktool -e nom_du_disk 0 ou nom_du_disk est du type disk1 Pour obtenir la liste de tous les disques montés : % disktool -l Pour monter une disque : % disktool -m nom_du_disk 0 Pour démonter un disque : % disktool -u nom_du_disk 0 |
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| Comment savoir depuis combien de
temps, l'ordinateur fonctionne ? |
% uptime uptime affiche sur une ligne les informations suivantes : L'heure actuelle, la durée depuis laquelle le système fonctionne, le nombre d'utilisateurs actuellement connectés, et la charge système moyenne pour les 1, 5, et 15 dernières minutes. |
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| Créer la commande apropos qui permet
d'exécuter une recherche de commande par mot clé. |
% pico
/Users/mon_nom_utilisateur .tcshrc (dans le cas où on utilise tcsh) Ajouter alors alias apropos 'man -k \!*' Enregistrer par ctrl +x |
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| Comment télécharger un fichier qui est
sur un serveur ftp avec terminal.app ? (l'exemple d'une mise
à jour MacSOUP sur le serveur ftp.sri.ucl.ac.be) |
Pour bien comprendre la manipulation, nous
allons télécharger la mise à jour de la version
française MacSOUP_F-2.5b2.X réalisée par JP
Kuypers. % ftp ftp.sri.ucl.ac.be Il demande ton nom, tu tapes « anonymous ». Il dit que c'est ok et que tu peux envoyer ton e-mail comme mot de passe. Ce que tu fais. Là tu navigues comme dans le terminal : cd pour changer de dossier ftp> cd pub/News/MacSOUP ftp> get MacSOUP_F-2.5b2.X.sit.hqx (à noter à la fin du transfert le message suivant : 226 Transfer complete. 112328 bytes received in 2.27 seconds (49588 bytes/s) Connaissez-vous un soft ftp qui irait plus vite que 2,27 secondes (je suis câblé mais quand même!) ? ;-) Moi, pas ! ) ftp> close 221 - Goodbye ftp> quit Quelques explications de base avec ftp : ftp> ls pour voir les fichiers ftp> get pour télécharger Eventuellement, passive pour passer en mode passif. ftp> close pour fermer la connection au serveur ftp> quit pour quitter ftp. ftp> help pour avoir la liste des commandes disponibles. ftp> prompt Cette commande permet de contrôler l'interactivité du transfert multiple avec mget ou mput. Si prompt est on, chaque transfert est précédé d'une demande de confirmation. S'il est off, le transfert global est automatique. Cette commande fonctionne comme une bascule, par défaut, le mode est on, une première commande propmt passe le mode à off, un seconde le ramène à on et ainsi de suite. ftp> mget *.* (mget interprète les méta-caractères.) Pour télécharger l'ensemble d'un fichier du répertoire courant avec mget : ftp> prompt Interactive mode off. ftp> mget *.* permet de ne plus valider chaque choix.. Paul Gaborit précise : Et pour être encore plus complet : ftp> binary Sinon les transferts se font en mode TEXT. ftp> mget * Sinon, on ne récupère que les fichiers dont le nom contient un point. Enfin, Jean-Pierre Kuypers, fait très justement remarquer que pour accéler encore plus la chose : % ftp -i nom_du_serveur_ftp commande qui permet de désactiver le mode interactif; c'est à dire que cela revient au même que taper plus tard ftp> prompt ftp> mget * Chacun choisira donc sa solution selon le téléchargement qu'il souhaite mettre en œuvre... ;-) En savoir plus sur ces commandes. ou encore ici On peut également utiliser ncftp qui est installable par fink % fink install ncftp Ici autocomplétion, bookmark, jauge.... bref... un superbe soft ! MacSOUP_F-2.5b2.sea.hqx: ETA: 0:14 0.30/ 1.00 MB 51.41 kB/s La possibilité d'enregistrer un signet est une des fonctions les plus intéressante, puisque : % quit Permet d'enregistrer un signet avec tout le paramétrage par la suite : % ncftpbookmarks et hop ! Affichage des signets... et vogue la galère ! |
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| Comment
sauver la base NetInfo "à la main" ? |
% mkdir .backupni % cd .backupni % sudo cp -r /private/var/db/netinfo/local.nidb/ . (ne pas oublier le « . ») % cd Et hop, sauvegardé :) [Dans l'ordre, on a créé un dossier caché (par le . devant le nom) pour y copier la base, on se place dans le dossier, on copie en tant que root pour garder les droits le dossier local.nidb qui contient la base netinfo et on revient dans le dossier utilisateur avec « cd »] Pour remettre en place : Démarrage en single user, fsck et le mount pour mettre la racine en écriture (cf ce qui est écrit au-dessus du prompt), ensuite : # cd /private/var/db/netinfo/ # rm -r local.nidb # cp -r /Users/[ton_user]/.backupni/local.nidb/ . (ne pas oublier le « . ») # reboot Et hop. [Dans l'ordre, on fait ce qu'il faut faire quand on démarre en single user, ensuite on se place dans le dossier qui contient le dossier de la base netinfo, on supprime l'ancienne, on copie la copie de sauvegarde au bon endroit et enfin on redémarre] Attention, bien faire une sauvegarde quand la base NetInfo est modifiée, par exemple si vous créez un nouvel utilisateur ou après une maj (au cas où celle-ci apporterait des modifs) |
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| Comment
puis-je connaître mon chemin de recherche (PATH) ? |
La variable PATH contient la liste des
répertoires que le système examine afin de trouver les
commandes et applications que vous essayez d'éxécuter. La commande echo qui permet d'afficher une variable particulière pourra donc être utilisée pour visualiser le PATH. % echo $PATH Par exemple cette commande donnera pour l'utilisateur toto /users/toto/bin:/bin:/usr/bin:/usr/local/bin |
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| Quelles sont
les permissions courantes et leurs valeurs numériques
associées ? |
% ls -l % --rw-rw---- 1 toto 0 Aug 03 08:14 mon_fichier le premier item est l'indicateur de type, il est noté par une lettre ou un"-", il indique le type de fichier (ici mon_fichier est un fichier normal) Cet indicateur de type peut prendre les valeurs suivantes :
Les 9 items suivants indique les niveaux de permission (ici mon_fichier est défini en accès lecture/écriture pour le propriétaire et le groupe). Voici les quelques valeurs de niveaux de permissions exprimées en décimal :
La colonne "Permission" ci--dessus est constitiée de 9 caractères qui se divisent en 3*3 et qui correspondent aux permissions accordées aux trois classes d'utilisateurs.
Signification des chaînes de permission les plus courantes : (r = (read) lecture, w =(write) écriture, x = (execute) exécution.
|
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| Est-il possible de
maximiser
l'utilisation des lignes de commandes ? |
Oui, grâce à l'aide des pipe-lines
et des filtres afin de réaliser des tâches
complexes
et sophistiquées. Filtres : La redirection des entrées/sorties recouvre tous les symbôles spéciaux qui indique de lire ou d'écrire (en écrasant ou en préservant le contenu). Le symbôle < modifie les entrées, alors que > et >> en modifient les sorties. Exemple : % ls -s > fichier1 va dresser la liste des fichiers du répertoire et va la stocker dans le fichier fichier1 % ls -s >> fichier1 va faire de même en ajoutant le nouveau résultat à fichier1, % ls -s > fichier1 aurait écrasé fichier1 % cat < fichier1 indique à l'inverse que le fichier fichier1va être affiché (cat) Evidemment, nous pouvons combiner l'ensemble de la façon suivante : % cat -v < fichier2 > fichier3 Ce qui signifie que nous allons lire les données du fichier2 et écrire le résultat dans fichier3. Un pipe-line est réalisé grâce au symbôle: | (qui s'obtient par un alt+ maj+ l)
Il permet de transmettre les résultats d'une commande à
une autre, plutôt que de les écrire dans un fichier (comme
ci-dessus)Par exemple, pour connaître le nombre de ligne du fichier /etc/passwd % cat /etc/passwd | wc -l On va donc lire le fichier /etc/password (cat) et en afficher le nombre de lignes. (wc -l) Autre exemple : comment trier les fichiers du répertoire courant du plus gros au plus petit ? % ls -s | sort -nr La commande ls -s indique la taille (en blocs) de chaque fichier, sort -n en fait un tri numérique -r affiche le plus gros en premier. |
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| Comment monter des
images disques directement via http et le terminal ? |
Julien Jalon nous en donne la
réponse sur
fcomx. % hdid http://adresse_Web/Image_Disque.dmg vous pouvez tester dans un terminal : % hdid http://mapage.noos.fr/jalon/DNSUpdateProject/DNSUpdate2.2.dmg (attention, ce n'est pas la dernière version de DNSUpdate [depuis cette version, le dmg est gzippé pour diverses raisons). Ça ne marche qu'en lecture seule mais c'est intéressant. |
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| Une astuce pour taper
les lettres accentuées sous tcsh ? |
Paul Gaborit nous en
donne la solution sur fcomx 'tcsh' accepte déjà les accents. Par contre la saisie est particulière : avant de saisir un accent, il faut le préfixer par Ctrl-V. en effet, Ctrl-V puis é donne : % \351 |
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| Fink- Quel fichier a installé le
package truc_machin_chose ? |
Julien Salort nous donne une
astuce: % dpkg -S truc_machin_chose |
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| Puis-je aspirer un site web via
terminal.app ? |
Pour cela, nous utiliserons wget, qui est
fink-installable. % wget -r le_nom_du_site_que_je_veux_aspirer |
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| Tranformer un .pdf en .jpg par exemple.... |
Jaguar réalise des captures d'image en
.pdf Pour les transformer en .jpg (par exemple), il suffit d'utiliser imagemagick qui est installable par fink % convert image.pdf image.jpg |
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| Jaguar ne reconnait plus ll | Laurent
Pertois nous en donne la solution et l'explication : % open -e /usr/share/tcsh/examples/README Et hop :) En clair, il faut ajouter ça dans les fichiers que je cite au début de la ligne : /etc/csh.cshrc : source /usr/share/tcsh/examples/rc /etc/csh.login : source /usr/share/tcsh/examples/login /etc/chs.logout : source /usr/share/tcsh/examples/logout En fait, Apple a changé des trucs dans la conf par défaut de tcsh et ce qui était pris en compte avant ne l'est plus (c'était dans /usr/share/init/tcsh/). De même, après les modifs indiquées, les ajouts faits dans ~/Library/init/tcsh/ seront à nouveaux valides. |
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| Tunneling SSH, kesako ? | Laurent
Pertois nous en rappelle la techique : % ssh user@ip -L portlocal:machinevisée:portvisé ex : % ssh toto@190.0.0.1 -L 10548:127.0.0.1:548 Ensuite, dans le Finder, je fais pomme-k et je tape 127.0.0.1:10548 et là, je me retrouve propulsé via le tunnel sur la machine 190.0.0.1 et son port 548. Le 127.0.0.1 du ssh indique que je me connecte sur le port 548 de la machine sur laquelle je me connecte en ssh, je pourrais aussi indiquer une ip d'une machine du même réseau que la machine me pemettant de me connecter en ssh : % ssh toto@190.0.0.1 -L 10548:190.0.0.2:548 Dans ce cas, quand je ferais 127.0.0.1:10548 dans la fenêtre de connexion au serveur, le tunnel ssh me fera passer par la machine de connexion ssh pour ensuite aller me connecter à la machine 190.0.0.2 et son port 548. Très pratique pour joindre des machines derrière un routeur, je n'ai qu'un port à ouvrir et une machine directement accessible, les autres sont atteintes par rebond. |
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| Connaître les dates événements du jour ? | François
Jacquemin nous en donne l'astuce : % calendar -f /usr/share/calendar/calendar.birthday -d09132002 ou encore % calendar -l 30 -f /usr/share/calendar/calendar.computer c'est assez réjouissant ! |
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| [CUPS] Comment utiliser une BJC-3000
sous MacOS 10.2.x : |
1 / Tout d'abord, il convient d'installer Gimp-Print (Dans notre exemple Gimp-print v 4.2.2) 2/ Pour accéder à l'outil d'administration CUPS, dans votre navigateur préféré tapez : http://127.0.0.1:631 3 / Menu Printers Ajouter une imprimante (Menu Printers - Add Printer) : Saisir Nom : BJC3000 Location : usb://CANON/BJC-3000?Serial=le_numero_de_Serie (le_numero_de_Serie est obtenu avec Apple System Profiler) Device : USB(Printer) usb Device URI : usb://CANON/BJC-3000?Serial=le_numero_de_Serie Make : CANON Model : Canon BJC 3000, CUPS+GIMP-print v4.2.2 (en) Ces paramétrages effectués... le message "Printer BJC3000 has been modified successfully." apparait. Cliquer à nouveau sur le bouton Printers.... puis Start Printer. Désormais l'imprimante BJC3000 est opérationnelle dans le Centre d'Impression. |
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| MTU sous OS X et PPPoE (Astuce donnée
par
JL Peuriere) |
Certains d'entre nous ont eu des
problèmes (pertes de paquets excessives) dus à la mtu,
dont les abonnés nerim, problème fixé par la
commande : "sudo ifconfig ppp0 mtu 1492", mais qu'il fallait relancer
à chaque connection. Voici le moyen de corriger le problème une fois pour toute : Depuis un compte admin, lancer le terminal et entrer les commandes suivantes (ne pas taper le %) : % cd /etc/ppp % sudo vi ip-up ^^ ou pico créer les 2 lignes suivantes (i dans vi, direct dans pico) : #!/bin/sh /sbin/ifconfig ppp0 mtu 1492 sauvegarder et quitter (ESC :wq dans vi, CTRL-O CTRL-X dans pico) % sudo chmod 755 ip-up #pour donner les droits d'exécution Quand la connection PPPoE s'établit, le deamon ppp exécute le script ip-up avec les droits root et corrige la mtu automatiquement. (truc trouvé sur Mac OS X hints, suite à une recherche de "pppd") Note : la valeur de 1492 est généralement correcte mais il se peut que ce soit encore trop, on peut expérimenter avec ping -s pour trouver la bonne valeur. Pour les machines sur le hub, l'interface est en0 ou en1 (ifconfig -a pour vérifier), et la mtu à utiliser est 1450. |
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| Comment personnaliser
le prompt de
terminal.app ? |
Le prompt de mon terminal affiche le nom
complet du propriétaire de la machine, ce qui pourrait sembler être du "bon sens"; au cas ou on oublie qui on est ;)) Je suis sûr qu'il y a une astuce ou un fichier qq part à modifier... Je précise tout de suite que je ne souhaite pas changer de nom ;) et que je souhaite garder le chemin dans le prompt... Una ayuda por favor ! Solution : % cd ~/ % pico .tcshrc et là rajouter : set prompt = "[Mon_Prompt:%~] %n%% " 'Mon_Prompt' est le nom qui vous fera plaisir :) Sauvegarder... |
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| Installer
un man en français. |
Tout d'abord il convient de
télécharger une documentation man en français. Par exemple ici : ftp://ftp.lip6.fr/pub/linux/french/docs/ ou http://fr.tldp.org/manfr.php Copier le tout par exemple dans /Library/Documentation/man_fr Ouvrir .tcshrc % pico .tcshrc y ajouter : alias manfr 'man -M /Library/Documentation/man_fr' Enregistrer (Ctrl+X) Relancer terminal.app Désormais nous pouvons avoir une page de documentation des commandes en français, en tapant par exemple : % manfr man |
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| Comment franciser les
dossiers gérés par le système (Music, Pictures,
Users...) ? |
Laurent Pertois nous en donne l'astuce : Les dossiers utilisateurs créés sous 10.1.x ne sont pas francisés sauf à faire une petite manip en terminal : % touch ~/Desktop/.localized % touch ~/Documents/.localized % touch ~/Library/.localized % touch ~/Movies/.localized % touch ~/Music/.localized % touch ~/Pictures/.localized % touch ~/Public/.localized % touch ~/Sites/.localized Et ensuite, on relance le Finder via ProcessViewer en quittant le processus ou en terminal : % killall Finder Et hop ! :) |
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| Configurer la mtu |
Pour configurer la mtu à 1450 % sudo ifconfig en0 mtu 1450 |
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| Clavier azerty avec X11.app |
Petite bidouille via un script shell : créer un fichier texte : #!/bin/sh /Applications/X11.app/Contents/MacOS/X11 --xquartz-be-xinit -keymap /System/Library/Keyboards/Francais.keymapping l'enregistrer et le nommer par exemple X11France Puis au terminal : % chmod +x X11France (pour le rendre exécutable) Le rajouter dans le Script Menu en tant que script shell Pour ce faire, open script Folder et le drag n dropper. |
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| TERM_PROGRAM:
Undefined variable |
> Est-ce que cette erreur : TERM_PROGRAM:
Undefined variable au lancement de xterm dit quelque chose à
quelqu'un ? Ce problème est du à l’absence d’un « ? » dans un fichier de Mac OS X 10.2. Pour corriger le problème, il vous faudra à nouveau être un utilisateur administrateur. Éditons le fichier « /usr/share/tcsh/examples/aliases » afin de corriger le problème : % sudo pico /usr/share/tcsh/examples/aliases password: Repérez la ligne contenant : if ("$TERM_PROGRAM" == "Apple_Terminal") then alias settermtitle ’echo -n "^[]2;\!:1^G"’ endif et ajoutez un « ? » juste après le signe « $ » pour obtenir : if ("$?TERM_PROGRAM" == "Apple_Terminal") then alias settermtitle ’echo -n "^[]2;\!:1^G"’ endif Reconnectez-vous en ssh, tout va mieux. |
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| Clavier fr sous X11.app | > Comment on fait pour avoir
un clavier francais sous le X11 d'Apple ? Tu le lances une fois par la ligne de commande avec la commande : $ startx -- -keymap Francais.keymapping& Ensuite, tu lances un xterm et dedans tu tapes : $ cd $ xmodmap -pke > .Xmodmap (tu pourrais éviter le premier cd en rajoutant ~/ avant .Xmodmap, mais j'ai pas trouvé la touche pour faire un "~"... :-) ) Bon, ensuite, tu te fais un .xinitrc et dedans, tu mets les lignes suivantes (dans l'ordre) : xmodmap $HOME/.Xmodmap quartz-wm Tu quittes X11.app et tu relances le serveur X en double-cliquant X11.app, et voilà... Tu as le clavier français... |
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| Installation X11.app | Il convient au préalable
de télécharger : X11SDKForMacOSX ainsi que X11.app beta a / si le xfree86 de fink est installé on, peut alors le désinstaller avec : % sudo dpkg -r --force -depends xfree86-base xfree86-base-shlibs xfree86-rootless xfree86-rootless-shlibs b / Installer X11.app beta c / Installer X11SDKForMacOSX d / Si on compte utiliser les programmes installables par fink % fink selfupdate -cvs % fink install system-xfree86 Quelques packages pour X11.app |
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| Exemples de .xinitrc, .tcshrc et
.xModmap sous X11.app |
1 / exemple de
.xinitrc PATH="$PATH:/usr/local/bin:/usr/sbin:/sw/bin:/sw/sbin";export PATH xmodmap $HOME/.Xmodmap xmodmap -e 'keycode 66 = Mode_switch' quartz-wm & LANG="fr";export LANG esd -nobeep 2 / exemple de .tcshrc source /sw/bin/init.csh bindkey "^I" complete-word-fwd bindkey -k down history-search-forward bindkey -k up history-search-backward set prompt = "[iMac:%~] %n%% " if (! $?DISPLAY) then setenv DISPLAY :0.0 endif alias manfr 'man -M /Library/Documentation/man_fr' setenv TERM vt100-color setenv LANG "fr" stty -istrip 3 / Exemple de .xModmap (pour clavier français) keycode 8 = q Q doubledagger keycode 9 = s S Ograve keycode 10 = d D keycode 11 = f F NoSymbol periodcentered keycode 12 = h H Igrave Icircumflex keycode 13 = g G keycode 14 = w W leftanglebracket rightanglebracket keycode 15 = x X keycode 16 = c C copyright cent keycode 17 = v V keycode 18 = at numbersign keycode 19 = b B ssharp keycode 20 = a A ae AE keycode 21 = z Z Acircumflex Aring keycode 22 = e E ecircumflex Ecircumflex keycode 23 = r R registered currency keycode 24 = y Y Uacute keycode 25 = t T dagger keycode 26 = ampersand 1 NoSymbol dead_acute keycode 27 = eacute 2 ediaeresis doublelowquotemark keycode 28 = quotedbl 3 leftdoublequotemark rightdoublequotemark keycode 29 = apostrophe 4 keycode 30 = section 6 paragraph aring keycode 31 = parenleft 5 braceleft bracketleft keycode 32 = minus underscore emdash endash keycode 33 = ccedilla 9 Ccedilla Aacute keycode 34 = egrave 7 guillemotleft guillemotright keycode 35 = parenright F1 braceright bracketright keycode 36 = exclam 8 exclamdown Ucircumflex keycode 37 = agrave 0 oslash Ooblique keycode 38 = dollar asterisk singlelowquotemark yen keycode 39 = o O oe OE keycode 40 = u U masculine ordfeminine keycode 41 = dead_circumflex dead_diaeresis ocircumflex Ocircumflex keycode 42 = i I icircumflex idiaeresis keycode 43 = p P keycode 44 = Return keycode 45 = l L notsign bar keycode 46 = j J Idiaeresis Iacute keycode 47 = ugrave percent Ugrave keycode 48 = k K Egrave Ediaeresis keycode 49 = m M mu Oacute keycode 50 = dead_grave sterling at numbersign keycode 51 = semicolon period ellipsis keycode 52 = equal plus NoSymbol plusminus keycode 53 = n N dead_tilde idotless keycode 54 = comma question NoSymbol questiondown keycode 55 = colon slash division backslash keycode 56 = Tab keycode 57 = space keycode 58 = less greater keycode 59 = BackSpace keycode 60 = KP_Enter keycode 61 = Escape keycode 62 = keycode 63 = Meta_L keycode 64 = Shift_L keycode 65 = Caps_Lock keycode 66 = Alt_L keycode 67 = Control_L keycode 68 = Shift_R keycode 69 = Alt_R keycode 70 = Control_R keycode 71 = keycode 72 = keycode 73 = KP_Separator period keycode 74 = NoSymbol asterisk keycode 75 = KP_Multiply keycode 76 = keycode 77 = KP_Add keycode 78 = NoSymbol plus keycode 79 = Escape keycode 80 = NoSymbol equal keycode 81 = keycode 82 = keycode 83 = KP_Divide keycode 84 = KP_Enter keycode 85 = NoSymbol slash keycode 86 = KP_Subtract keycode 87 = keycode 88 = keycode 89 = KP_Equal keycode 90 = KP_0 keycode 91 = KP_1 keycode 92 = KP_2 keycode 93 = KP_3 keycode 94 = KP_4 keycode 95 = KP_5 keycode 96 = KP_6 keycode 97 = KP_7 keycode 98 = keycode 99 = KP_8 keycode 100 = KP_9 keycode 101 = keycode 102 = keycode 103 = keycode 104 = F5 keycode 105 = F6 keycode 106 = F7 keycode 107 = F3 keycode 108 = F8 keycode 109 = F9 keycode 110 = keycode 111 = F11 keycode 112 = keycode 113 = F13 keycode 114 = keycode 115 = F14 keycode 116 = keycode 117 = F10 keycode 118 = keycode 119 = F12 keycode 120 = keycode 121 = F15 keycode 122 = Help keycode 123 = Home keycode 124 = Prior keycode 125 = Delete keycode 126 = F4 keycode 127 = End keycode 128 = F2 keycode 129 = Next keycode 130 = F1 keycode 131 = Left keycode 132 = Right keycode 133 = Down keycode 134 = Up keycode 135 = keycode 136 = keycode 137 = keycode 138 = keycode 139 = keycode 140 = keycode 141 = keycode 142 = keycode 143 = keycode 144 = keycode 145 = keycode 146 = keycode 147 = keycode 148 = keycode 149 = keycode 150 = keycode 151 = keycode 152 = keycode 153 = keycode 154 = keycode 155 = keycode 156 = keycode 157 = keycode 158 = keycode 159 = keycode 160 = keycode 161 = keycode 162 = keycode 163 = keycode 164 = keycode 165 = keycode 166 = keycode 167 = keycode 168 = keycode 169 = keycode 170 = keycode 171 = keycode 172 = keycode 173 = keycode 174 = keycode 175 = keycode 176 = keycode 177 = keycode 178 = keycode 179 = keycode 180 = keycode 181 = keycode 182 = keycode 183 = keycode 184 = keycode 185 = keycode 186 = keycode 187 = keycode 188 = keycode 189 = keycode 190 = keycode 191 = keycode 192 = keycode 193 = keycode 194 = keycode 195 = keycode 196 = keycode 197 = keycode 198 = keycode 199 = keycode 200 = keycode 201 = keycode 202 = keycode 203 = keycode 204 = keycode 205 = keycode 206 = keycode 207 = keycode 208 = keycode 209 = keycode 210 = keycode 211 = keycode 212 = keycode 213 = keycode 214 = keycode 215 = keycode 216 = keycode 217 = keycode 218 = keycode 219 = keycode 220 = keycode 221 = keycode 222 = keycode 223 = keycode 224 = keycode 225 = keycode 226 = keycode 227 = keycode 228 = keycode 229 = keycode 230 = keycode 231 = keycode 232 = keycode 233 = keycode 234 = keycode 235 = keycode 236 = keycode 237 = keycode 238 = keycode 239 = keycode 240 = keycode 241 = keycode 242 = keycode 243 = keycode 244 = keycode 245 = keycode 246 = keycode 247 = keycode 248 = keycode 249 = keycode 250 = keycode 251 = keycode 252 = keycode 253 = keycode 254 = keycode 255 = Depuis X11.app, nous pouvons utiliser % /etc/X11/xinit/xinitrc #!/bin/sh # $Id: xinitrc,v 1.2 2003/02/27 19:03:30 jharper Exp $ userresources=$HOME/.Xresources usermodmap=$HOME/.Xmodmap sysresources=/etc/X11/xinit/.Xresources sysmodmap=/etc/X11/xinit/.Xmodmap # merge in defaults and keymaps if [ -f $sysresources ]; then xrdb -merge $sysresources fi if [ -f $sysmodmap ]; then xmodmap $sysmodmap fi if [ -f $userresources ]; then xrdb -merge $userresources fi if [ -f $usermodmap ]; then xmodmap $usermodmap fi # start some nice programs # xterm & /sw/bin/esd & # start the window manager exec quartz-wm |
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| Connaître PATH, MANPATH et INFOPATH en une seule commande | Nicolas Michel nous l' indique : % printenv | grep PATH |
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| Les variables internes au shell courant avec la commande set | Frédéric
Goudal nous précise que pour les sh like (sh, bash, zsh, ksh...)
cette commande est plus complète que printenv
(voir
ci-dessus) % set |
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| XFree86, X11, fink...kesako? |
X11 :
nom du système d'affichage, accessoirement nom aussi de l'appli Apple qui lance cette interface XFree86 : une des implémentations (la plus courante) de X11 Fink : système permettant d'installer facilement des applis open source en téléchargeant le code source et en le recompilant. Donc, avec Fink tu vas installer en premier un élément qui s'appelle System-XFree, ainsi les applis Fink sauront où trouver le X11 d'Apple. Tiens, ça me fait penser qu'il te faut installer les outils développeur. |
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| [X11.app] Comment paramétrer
xterm pour qu'il ait un ascenseur à droite et soit capable de
mémoriser 1000 lignes ? |
a / Lancer X11.app b / Ouvrir Menu--> Application--> Customize c / Saisir La commande pour Xterm la commande : xterm -sb -sl 1000 -rightbar |
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| Rendez-vous kesako ? |
Rendezvous est assimilable
à un DNS, donc ta machine a un nom en clair et pas simplement une adresse IP. Le nom Rendezvous c'est le nom que tu veux donner à ta machine pour que les autres puissent y accéder, ça se règle dans Préférences Système, Partage, il y a une case Nom Rendezvous. Est-ce que je peux m'en servir pour partager un calendrier ? ou avec icommune pour partager ma musique d'un poste à l'autre (en local) ? Uniquement en local, ça ne passe pas les routeurs et uniquement entre machines en Jaguar. |
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| Comment quitter avec terminal.app une application qui plante ? | % ps -auxww | grep
"MonApplicationQuiPlante" et tu obtiens le PID Ca evite de chercher % kill PID Solution alternative par Laurent Pertois : Perso, je fais : % ps auxwwc | grep -i appliquiplante le - est optionnel avec ps, le c évite l'affichage du chemin d'accès à l'appli (ça fait des lignes moins longues) et le -i de grep le rend insensible à la casse parce que par exemple : % ps auxwwc | grep "finder" ne me retourne rien alors que % ps auxwwc | grep -i "finder" me retourne au moins la ligne concernant le processus Finder. Ma propre astuce : soit % ps - ax | grep -i "Application" soit : % top Cela me permet d'obtenir des process en cours d'utilisation. Le PID est clairement indiqué. Donc je repère le PID de l application qui est plantée. J'ouvre un nouveau shell en faisant pomme+N Je tape : % kill Numero_PID_de_applic_qui_plante Je peux observer en regardant le premier shell que tout c'est déroulé normalement. Cette manipulation est tout particulièrement intéressante si l'on veut déplanter un ordinateur en réseau. On s'y connecte via ssh % ssh IP_de_ordinateur Et on pratique de même.. |
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| Dossier "Temporary Items" | > Bon ca y est, je suis
agacé, pourquoi sous X (jaguar) j'ai tout le temps > un dossier "Temporary Items" qui se crée. C'est apparement lié a > certaine utilisation de logiciel. > Quelqu'un un commentaire, un idée, une solution… Bon, et une suite de réponse constructive : tu tapes ça dans le Terminal : % sudo pico /.hidden Tu tapes ton mot de passe. Puis dans la liste qui s'affiche, tu vas avec tes flèches avant la ligne qui commence par tmp, et sur une nouvelle ligne, tu tapes : Temporary Items Tu enregistres avec Contrôle-X, y pour confirmer et Entrée. Ça te permet d'ajouter ce fichier dans la liste des fichiers invisibles du Finder. Tu relances le Finder : % killall Finder |
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| Supprimer les autres langues ? |
Supprimer les autres langues : % find /Applications /Developer /System /Library -type d -name \*.lproj |grep -v French.lproj |grep -v English.lproj |grep -v en.lproj |grep -v fr.lproj >/tmp/liste.lprojs Ensuite, tu peux éditer le fichier /tmp/liste.lprojs si tu veux vérifier ce qui est viré... Et enfin : % zsh cat /tmp/liste.lprojs |while read line do echo "deleting file " $line sudo rm -rf "$line" done exit |
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| Gravure d'un CD haute capacité - L'exemple du CD-R TDK Metallic 800 MB | 1 / Constituer un dossier avec
à l'intérieur les éléments à graver 2 / Lancer FireStarter FX 3 / Choisir l'onglet "Graver les données" puis placer le dossier à graver dans la zone de dépôt enfin choisir "format .iso". Lancer la constitution de l'image. 4 / Choisir l'onglet "Graver une image". Placer l'image .iso ainsi constituée dans la zone de dépôt. 5 / Cliquer sur le bouton "Graver" ou "Burn", choisir "Overburning" si possible NB : Pour ma part sur un iMac 500 DV, j'ai du augmenter au maximum le cache RAM en utilisation les "réglages avancées" du logiciel FireStarter. Petites précisions (ajout du 6 mars 2004) : a / choisir une vitesse de gravure très franchement inférieure à la vitesse annoncée pour votre graveur (chez moi sur un SmartDisk VST 8x, j'ai opté pour du 4x) b / attention à ne pas indiquer un cache RAM si vous ne disposez pas suffisamment de mémoire RAM c / Éviter les documents comportant plus de 8 caractères (le logiciel FireStarter tronque les mots... ce qui en soit n'est pas très grave) |
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| Comment renommer un ensemble de fichiers au terminal ? | Il faut se placer dans le bon dossier avec "cd" (on peut glisser-déposer le dossier sur la fenêtre du Terminal pour avoir le chemin).
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| Synchroniser un backUp | Sous MacOS X, il y a plusieurs façons de faire pour synchroniser un backUp. On peut soit utiliser des logiciels en GUI comme RSyncX ou PSyncX ou BackUp d'Apple. J'ai opté pour une synchronisation en utilisant la commande psync. L'idée est de synchroniser la totalité du disque dur de mon iMac G5 (80 Go) sur un disque dur FireWire SilverTouch de 160 Go. J'ai tout d'abord partitionné ce disque en deux partitions de 80 Go. La première me servira de clone (synchronisable) de l'iMac G5, la seconde d'espace de stockage pour divers documents non présents sur le G5, ou pour faire du montage vidéo. Idée : réaliser un programme exécutable synchronise.sh qui exécute le tout. J'ai appelé ma partition de backUp : "Sauvegarde". Lancer un traitement de texte, Smultron, emacs ou pico (ou n'importe quel soft permettant la réalisation d'un programme .sh) Taper : #!/bin/sh #/usr/bin/say "Synchronization complete." Enregistrer ce petit programme en synchronize.sh Et voilà. Il n'y a qu'à le lancer de temps en temps, ou le faire figurer en cron pour sauvegarder en synchronisant la totalité du disque (qui par ailleurs avec cette technique est bootable) Info : Une synchro d'un disque dur de 80 Go (dès lors bien sûr que la sauvegarde initiale a été opérée) dure environ 17 minutes Pour avoir une idée : 4 minutes - scanning destination (chez moi 687 000 items) 7 minutes - scanning source (chez moi 629 000 items) 6 minutes - 4 000 fichiers à effacer, 619 000 restent inchangés, 9 000 à copier - changement des attributs des directories. |
